Olivier ARNOULD cède sa société de réalisation de logiciels professionnels Proche de la retraite, il a souhaité adosser son entreprise à un acteur du marché. |
"Les critères de choix ont été l'accord sur la valorisation, la pertinence du projet, et les «synergies produits»"
FUSACQ : Pouvez-vous nous expliquer l'activité de votre entreprise ? Olivier ARNOULD : La société intervient dans la réalisation de logiciels spécialisés en informatique mobile pour les métiers de la propreté industrielle et du multi-service. Pour quelle raison avez-vous souhaité vendre votre entreprise ? Mon âge (64 ans), la forte croissance du marché et la taille de nos principaux clients (très grandes entreprises de propreté). Quel type de repreneur recherchiez-vous et comment l'avez-vous trouvé ? Je recherchais un éditeur de logiciels important ou indépendant que j'ai trouvé grâce à la visibilité proposée par le site FUSACQ. J'en ai ainsi rencontré une demi douzaine et les critères de choix ont été l'accord sur la valorisation, la pertinence du projet, et les synergies "produits". Quand avez vous commencé à évoquer le prix de cession ? Comment se sont passées les négociations ? Dés le départ, j'avais établi une valorisation de l'entreprise qui a servi de base à la discussion. Les négociations se sont déroulées normalement. Avez-vous fait rencontrer l'équipe au repreneur avant la vente ? Vos salariés étaient-ils au courant de votre démarche ? Je l'ai fait rencontrer à mon associé mais pas aux autres salariés. Les autres salariés étaient tout de même informés du projet de cession. Comment vos salariés ont-ils reçu la nouvelle de la vente ? Bien, car les repreneurs apportent un plus pour l'avenir. | ||||||
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Quelle étape vous a paru la plus compliquée ? Ma décision du choix du repreneur. Quels conseils donneriez-vous aux cédants et aux repreneurs pour ce type d'opérations ? En toutes circonstances, faire preuve de clarté, transparence, détermination et écarter les "touristes" rapidement. Qu'allez vous faire maintenant ? Je vais encore aider l'entreprise pendant 2 ans, puis partir sur mon voilier, … |